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Pardonnez-moi d'avoir parlé de moi encore hier j'étais simalheureuxIl y avait c'est vrai le vin les sourires les yeuxMon bras coupé me faisait malMon cÂœur plié dans le journalSaignait beaucoupEt on voyait mon espoir par le trouUn tunnel conduisait à travers la chair viveA une femme debout sur la rivePardonnez-moi pour l'espérance folleQui fait déborder par moments ce trop-plein de parolesPardonnez-moi d'être l'enfantQu'on a perdu dans le square, le tempsEst à la pluie, loin il y a les nuagesComme un ourlet très douloureux dans le cÂœur sageAh vieille carte qu'on lit mal !Les avenirs débordent de la malleLa jeune fille enfermée court en plein jour vers un balAu devant du convoi quelqu'un lève un fanalArrêtez-moi dans ma course vers l'innocenceReprochez-moi d'être embourbé dans l'espéranceC'est par l'or pur que je vaincraiOn est sans nouvelles du steamer du printempsEt la noyée du jour de l'an ?Il fait froid il fait mauvais tempsLa femme que j'attends toujours me tanceEt j'ai ma douleur qui me lance
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