Esse letra de Sages Poêtes de La Rue já foi acessado por 203 pessoas.
Veja também o vídeo da música tocada.
J'ai croisé des personnes dures commes des armes,
J'en ai croisé d'autres dont la vie était un drame.
Là bas dans les villes, ils se battent pour du papier,
Si t'es docile, ils te poussent dans leur guêpier.
Donc si je dors, je suis mort,
Je dois être fort, imposer mon corps dans le décor.
L'ambiance est glacée, tous les gens sont stress,
En premier je bouge, sinon c'est eux qui me blessent.
J'en fais l'enfer, aux blairs de mon ère,
Qui ne veulent pas de ma terre mère dans leur prochain millénaire.
Oh aïe aïe aïe, dans un style reggae, voici la racaille.
J'ai gaiement parcouru les sentiers perdus,
Des filles du monde entier, me voir étaient venues.
Et pour elles, je suis devenu un spirituel symbole,
Mes mots sur elle, coulaient tel du lait dans un bol.
Mais ces folles m'ont trahi par leur comportement étrange,
M'ont haï, moi qui voulait être ange.
Il fut écrit dans l'hisoire de l'homme,
Que sa femme l'aurait par l'effet d'une pomme.
La douce Eve a vu la vérité,
Découvre le visage, de sa nudité.
Le monde est alors devenu étrange,
Le corps de l'humain consta-constamment change.
Le mal fait la différence, l'homme encourage la différence.
Alors pense, j'ai découvert que le monde dans lequel je vis,
N'est donc pas compris, passe moi le cierge qui alimentera ma vie.
C'est dur à dire mais cet homme ne t'aime pas,
Mais le plus alarmant c'est qu'il ne te connait pas.
Vois tu il y a une chose que jamais je n'oublie,
C'est que Dieu sauva l'homme en donnant sa vie.
Certains font l'effort par l'attitude qui change,
Mais je constate que ce monde est étrange
Para enviar você precisa efetuar um cadastro gratuito no site. Caso já tenha um cadastro, acesse aqui.
Acesse agora, navegue e crie sua listas de favoritos.
Entrar com facebook Criar uma conta gratuita
Comentários (0) Postar um Comentário