Letra da Música: Histoire de faussaires - Georges Brassens

Esse letra de Georges Brassens já foi acessado por 90 pessoas.

Publicidade
Comente

Veja também o vídeo da música tocada.


Se découpant sur champ d'azurLa ferme était fausse bien sûr,Et le chaume servant de toitSynthétique comme il se doit.Au bout d'une allée de faux buis,On apercevait un faux puitsDu fond duquel la véritéN'avait jamais dû remonter.Et la maîtresse de céansDans un habit, ma foi, seyantDe fermière de comédieA ma rencontre descendit,Et mon petit bouquet, soudain,Parut terne dans ce jardinPrès des massifs de fausses fleursOffrant les plus vives couleurs.Ayant foulé le faux gazon,Je la suivis dans la maisonOù brillait sans se consumerUn genre de feu sans fumée.Face au faux buffet Henri deux,Alignés sur les rayons deLa bibliothèque en faux bois,Faux bouquins achetés au poids.Faux Aubusson, fausses armures,Faux tableaux de maîtres au mur,Fausses perles et faux bijouxFaux grains de beauté sur les joues,Faux ongles au bout des menottes,Piano jouant des fausses notesAvec des touches ne devantPas leur ivoire aux éléphants.Aux lueurs des fausses chandellesEnlevant ses fausses dentelles,Elle a dit, mais ce n'était pasSûr, tu es mon premier faux pas.Fausse vierge, fausse pudeur,Fausse fièvre, simulateurs,Ces anges artificielsVenus d'un faux septième ciel.La seule chose un peu sincèreDans cette histoire de faussaireEt contre laquelle il ne fautPeut-être pas s'inscrire en faux,C'est mon penchant pour elle et monGros point du côté du poumonQuand amoureuse elle tombaD'un vrai marquis de Carabas.En l'occurrence CupidonSe conduisit en faux-jeton,En véritable faux témoin,Et Vénus aussi, néanmoinsCe serait sans doute mentirPar omission de ne pas direQue je leur dois quand même une heureAuthentique de vrai bonheur.


Quer fazer uma correção nesta letra?





    Comentários (0) Postar um Comentário

    Nenhum comentário encontrado. Seja o primeiro!