Esse letra de Yves Duteil já foi acessado por 118 pessoas.
Veja também o vídeo da música tocada.
John était amoureux, ça se voyait un peu.Il avait un air si bizarre et veillait si tard.Il buvait tant de vin que souvent, le matin,On pouvait l'entendre de l'étang jusqu'au moulin.La fille aux longues mains ne disait jamais rien,Et le pauvre John pensait bienQu'à veiller dehors jusqu'au lever du jour,Il en crèverait ou bien de froid ou bien d'amour.John avait un béguin, ça se voyait un brin.Quand il tapait sur sa poitrine en buvant du gin,Il avait l'Âœil hagard, buvait toujours à part,Poussait des hurlements qui faisaient fuir le vent.Mais la fille aux longues mains ne disait jamais rien,Et le pauvre John pensait bienQu'à veiller dehors jusqu'au lever du jour,Il en crèverait ou bien de froid ou bien d'amour.John était amoureux, il en a fait l'aveu.Depuis, de la rivière au port, on en rit encore.Le soir, au coin du feu, on écoute les vieuxRaconter l'histoire de John l'amoureux.Il aimait la statue d'une belle inconnueMorte cent ans auparavant dans un ouragan.Il allait tous les jours lui dire son amour,Et noyait sa peine dans un verre à son retour.La fille aux longues mains ne dirait jamais rien,Et le pauvre John savait bienQue dans la statue était son cÂœur et qu'un jourIl en crèverait ou bien de froid ou bien d'amour,Que dans la statue était son cÂœur et qu'un jourIl en crèverait ou bien de froid ou bien d'amour,Il en crèverait ou bien de froid ou bien d'amour.
Para enviar você precisa efetuar um cadastro gratuito no site. Caso já tenha um cadastro, acesse aqui.
Acesse agora, navegue e crie sua listas de favoritos.
Entrar com facebook Criar uma conta gratuita
Comentários (0) Postar um Comentário