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Les faubourgs de l'amour sont en réalité sans quartier, nets et courts et a couteaux tirés... sans discours... sourds... et à pas cadencés quand le compte à
rebours est déjà commencé... Au fond des arrière-cours, il y a certes des fenêtres.. où la lumière du jour ne parait jamais
naître.. et puis cette tentation qui sort du fond de l'être... une porte, attention! L'oeil d'un judas qui guette... on frappe... Ça s'passe
au premier étage... en bas... ça parle! ..Quartier "des cinquante otages"... numéro 23...
Quand l'huis baille, elles se donnent et "endorment" la monnaie, se débraillent, impressionnent dans des corps de "Manet", ces
nymphes de palier dans l'escalier qui grince, comme ces lits au premier quand on y met les <>!... Sur des matelas jaunis
se dressent les amours lasses, ainsi passent les nuits, ils s'enlacent, ils se laissent juste ce qu'il faut d'envie et puis les cris se
tassent.. dans l'impasse de l'ennui qui les mère à la laisse... et frappe... Ça s'passe au premier étage... en bas... ça parle!..
Quartier "des cinquante otages"... numéro 23...
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