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Comme le temps est loin déjàte souviens-tu de ce jour-là ?L'amour n'est rien d'autre parfoisque cet instant dans un regardet les amants qui se séparentsur les quais mouillés d'une garene savent pas qu'il est trop tardet qu'on ne se retrouve pas.Je l'avais connue un printempsun jour de soleil et de ventet ce fut elle que j'aimais tantet qui ne m'aima que pour rireCe fut une triste satirepourquoi faut-il toujours mourir ?J'ai peur de vivre et de vieilliret cette mort qui nous attend.C'était sur les quais de la Seineelle était blonde et lycéenneet ne me regarda qu'à peineet moi, je jouais de la guitareil y avait là quelques clochardsils ont passé le jour à boireet doucement tomba le soiret je pris sa main dans la mienne.Et les jours passent après les jourset les amours après l'amouril n'y aura jamais de retouret ma jeunesse est vite passéeJe voudrais rire et t'oublieron perd sa vie à se rappelercar je t'avais beaucoup aiméeet je m'en souviendrai toujours.Au coin de la rue Viscontioù j'avais ma chambre et mon litj'ai connu la mélancolied'un décor qui n'a pas changéLes murs sont gris comme ils l'étaientil y faisait très chaud l'étéle vent soufflait dans l'escaliercomme un orgue de Barbarie.La lune brille dans un ciel noirque se passe-t-il donc ce soir ?Pourquoi m'est-il permis de voirtous ces fantômes dans les rues ?Les bruits de la ville se sont tusQue sont ces jours-là devenus ?Et ton ombre qui dansait nuedans le reflet de mon miroir ?
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