Esse letra de Daniel Balavoine já foi acessado por 134 pessoas.
Moi qui ai peur en avionC'est bien ma veineC'est la seule solutionA mes problèmesPour avoir l'air d'un hommeJe sors mon parabellumJe rentre dans la cabineJe dis au piloteFaudrait pas qu'tu t'débinesSi tu veux qu'on soit potesJ'espère que t'es bilingueJ'vais détourner ton zincOù tu vas qu'il me dit poliJ'en sais rien je réponds surprisJe veux juste être libreEt savoir le pourquoiPouvoir dire ce que j'ai à direMais sans risquer la mort ou pireSans qu'on fasse de moiCe que je ne suis pasMais le pays dont tu parlesÇa n'existe pasJ'aimerais te faire plaisirMais ça n'existe pasMême dans mes souvenirsVraiment je vois pasJe n'ai connu que pireJe t'en prie crois-moiRange ton revolverJe vais t'expliquer, calme-toiJ'voudrais bien t'éviterD'user de mon flingueMais si tu continuesJ'fais péter la carlingueMe regarde pas comme çaComme si j'étais un dingueSi y a rien sur la terreQu'est fait pour me plaireT'as qu'à m'emmener ailleursDans ton universVers un monde construitDans un autre décorJe te parle pas du paradisMais d'un sentiment bien plus fortOù si tu donnes ta vieOn pardonne ta mortMais le pays dont tu parlesÇa n'existe pasJ'aimerais te faire plaisirMais ça n'existe pasMême dans mes souvenirsVraiment je vois pasJe n'ai connu que pireJe t'en prie crois-moiRange ton revolverJe vais t'expliquer, calme-toiY a des gens dans cet avionQui pensent autrementQui ont la même vie que toiMais qui sont contentsQui suivent comme des moutonsQui portent leur croixQui sont de vrais combattantsMais chacun pour soiY'en a même qui sont bonsTu dois respecter ces gens-làAllez donne ton revolverOn va rien te faireOn dira rien à personneJ'en fais mon affaireC'est vraiment ta dernière chanceTu peux pas mieux faireMontre ton intelligenceJ'te parle comme un frèreTu dois me faire confianceRedescends sur la terreC'est comme ça qu'un jour plus tardC'était la déglingueChemise cousue sur mesureJ'étais chez les dinguesIls m'ont piqué ma ceintureMes lacets, toutes mes fringuesToutes les heures, une piqûreCachets et seringuesMe font la vie moins dureOu me rendent un peu plus dingueMais le pays dont je parleÇa n'existe pasMais le pays dont je parleÇa n'existe pasJe me sens bien chez les fousJe me sens chez moiJe me sens bien chez les fousJe me sens chez moiÇa n'existe pasÇa n'existe pasC'est comme ça qu'un jourC'était la déglingueChemise cousue sur mesureJ'étais chez les dinguesIls m'ont piqué ma ceintureMes lacets, toutes mes fringuesJ'deviens de plus en plus dingue...
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